« Nécessité intérieure »
« J’ai eu la sensation de plus en plus précise et peut-être sereine que je devenais cette femme », prévient-il. Au Festival 16:30, sa route a croisé celle du Lot-et-Garonnais capteur de sons Guillaume M. Soula. « Une rencontre permanente entre les sons et les mots. »
En résidence créatrice au Paradis, autrement appelé galerie verbale, le duo tricote cette singulière performance entre théâtre et musique dans « un monde de métamorphose et d’hybridation ». Ni spectacle, ni expérience, mais plutôt « une traversée », indique Gilles Ruard. Le public sera invité à passer par un sas d’entrée, pour s’habituer à la semi-obscurité de l’espace, « milieu vivant qui évolue » (1). Il pourra s’asseoir ou ne pas s’asseoir, sans obligation. « Rien n’est interdit », appuient les artistes.
La femme, qui inspire le duo d’artistes, « n’est pas un enfant sauvage, elle ne déteste pas les humains ». Elle est « nécessité intérieure ». Au public de la découvrir à travers les mots et les captations sonores de Guillaume M. Soula. « J’enregistre la glace, le bruissement des feuilles, les oiseaux en environnement naturel dans les Pyrénées ou dans les Alpes », rapporte l’homme du son. Des captations sonores évolutives qui nourrissent ensuite l’improvisation autour « des mots qui ne bougent pas ».
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